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Pourquoi démissionner ne devrait plus vous faire culpabiliser

Les RH, coachs et psychologues du travail le confirment, votre démission doit être vue comme une nouvelle opportunité, même si la prise de risque est réelle. Vous avez souvent plus à gagner qu'à perdre, sur le plan professionnel comme personnel. La preuve par 4.

Août 2021 : en pleine pandémie, 4,3 millions de salariés américains ont quitté leur emploi. Trois mois plus tard, leur nombre s'élève à 4,5 millions. Un nouveau record.
Août 2021 : en pleine pandémie, 4,3 millions de salariés américains ont quitté leur emploi. Trois mois plus tard, leur nombre s'élève à 4,5 millions. Un nouveau record. (iStock)
Publié le 10 mars 2022 à 17:50Mis à jour le 13 févr. 2023 à 16:19

Le taux de chômage n'a jamais été aussi bas depuis 2008 et les démissions aussi nombreuses. Même dans les grands cabinets de conseil comme Capgemini et ses concurrents sont confrontés à une vague inédite de départs , pouvait-on lire récemment dans Les Echos. Cette « great resignation » met les entreprises sous pression alors que la « guerre des talents » fait rage et que les jeunes parmi les plus diplômés se montrent de plus en plus exigeants . Dans ce contexte, démissionner peut être un moment particulièrement inconfortable pour les salariés sur le départ.

Pour autant, aucune raison de culpabiliser, rassure le psychologue du travail Adrien Chignard. « La culpabilité nous signale qu'on aurait fait du mal à autrui. Elle ne s'applique pas aux relations contractuelles : s'en vouloir de quitter son entreprise est une confusion des genres qui peut être nocive pour soi », précise en préambule l'auteur de Bien dans votre job, à paraître le 22 mars.

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