La semaine de travail de quatre jours gagne du terrain en Europe Contenu réservé aux abonnés
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La Grande-Bretagne expérimente depuis peu une semaine de travail écourtée, sans perte de salaire. L'Espagne démarre aussi un programme pilote dans la région de Valence. En Lituanie, c'est une catégorie de la population bien précise qui est visée en priorité. Qu'en est-il en France ?
Par Neïla Beyler
Travailler moins pour gagner pareil : depuis que le télétravail s'est installé dans le monde de l'entreprise post-Covid, un autre mode d'organisation gagne du terrain : la semaine de travail de quatre jours . Son principe ? Amputer une semaine ordinaire d'une journée, sans compenser sur les quatre autres jours, et sans impact sur sa fiche de paie.
Mais à chaque bouleversement d'organisation, son lot de questions : cela permet-il réellement aux employés d'être plus heureux et en meilleure santé, sans nuire au bon fonctionnement de l'entreprise ? Seront-ils moins susceptibles de s'épuiser ou de démissionner ? Des semaines plus courtes aideront-elles les entreprises à consommer moins d'énergie ? Tour d'horizon de ce qui se fait chez nos voisins européens.
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